Là où on lit les revues et publications ponctuelles du Cifas

Publications ponctuelles

Les belles surprises, de temps en temps

Revue Feral

Traversée sensible du festival Feral (2022 - présent)

Revue Klaxon

Revue dédiée à l'art vivant dans l'espace public (2014-2021)

Publications ponctuelles

Journal réalisé par l'École d'Urbanisme Nomade mené par Stalker au Marais Wiels en septembre 2023, sur l'invitation du Cifas.

Le Cifas s'est associé à Alternatives théâtrales pour son numéro 148 consacré au cirque, à la marionnette et à l’art dans l’espace public.

Revue Feral

Retours sensibles sur l'édition 2022 du festival Feral

Revue Klaxon

Comment la création en espace public peut-elle transformer nos représentations du vivants et des situations, nos imaginaires et le réel? Complément du précédent numéro, ce 13e opus de Klaxon envisage la création artiviste qui vise à transformer le monde en soutenant le vivant.

Parce que l’imaginaire n’est pas « une fumée ou un rêve douceâtre » mais « ce qui ponte l’action » (Damasio), parce qu’il est urgent de reconfigurer nos imaginaires du vivant, Klaxon consacre ce numéro à des artistes soucieux d'œuvrer à la « recomposition du monde ».

En se réclamant d’une approche plurielle des espaces urbains, les artistes se démarquent des approches déployées par les professionnels traditionnellement en charge des opérations de transformation du cadre bâti, qu’ils soient urbanistes, ingénieurs ou architectes. Ce numéro de Klaxon est consacré à ce que l’on nommera la « fabrique de l'urbanité ».

L’art vivant dans l’espace public, parce qu’il opère dans un espace partagé, est volontiers consensuel. Pourtant, à une époque où le procédé favori des institutions pour éviter qu’on ne les conteste est la prétention au consensus, il semble important que les artistes rappellent le rôle majeur du désaccord, voire du conflit, dans la démocratie.

Depuis quelques années resurgissent les idées de partage, les principes de mise en commun, les actions collectives et les réinventions de règles communautaires. Mais, comme l’a montré la philosophe américaine Judith Butler, quand des personnes s’assemblent dans l’espace public, c’est souvent pour montrer qu’elles n’y ont pas droit, ou que leurs droits y sont bafoués, menacés : le rassemblement est à la fois l’expression d’une résistance et le signe d’une vulnérabilité.

L’espace public ne se limite plus aujourd'hui aux rues, aux places, aux bâtiments « publics », mais inclut aussi la Toile, nos échanges digitaux, nos prothèses technologiques qui nous guident et nous repèrent. Ce numéro de Klaxon s’intéresse à cette proximité entre monde numérique et monde physique – urbain en particulier.

Que peut l'art face à la terreur? L’une des voies explorées fut celle qu’offre le care, ici décrite par Joan Tronto. Ce numéro fait également écho aux démarches artistiques qui s’attachent à agir sur la société dans le souci de l’autre, y intégrant la notion de soin – sans pour autant céder à aucune mièvrerie.

Ce sixième numéro de Klaxon poursuit sur la lancée du numéro précédent, déjà consacré à la justice sociale. Voici donc de nouvelles réflexions ou pratiques artistiques redonnant l’espace public à des corps ordinairement tenus à la marge : ici ceux des femmes, des Roms, des jeunes, des immigrés, des sans-domicile fixe, des malades, des transgenres.

Dans ce cinquième numéro, nous nous interrogeons sur la place dans la cité des «corps exclus», rejetés des pratiques culturelles ou sociales au titre de leur étrangeté et de leurs différences.

Dans Klaxon 4, nous abordons la notion de participation que l'on retrouve de plus en plus souvent dans les actions artistiques mises en place dans l'espace public.

Dans ce numéro de Klaxon, nous abordons les pratiques artistiques qui s’exercent à redéfinir les tracés de nos villes. Klaxon s’intéresse aux démarches artistiques qui questionnent la cartographie et le plan urbanistique, aux pratiques qui tentent, avec du vivant, de tracer de nouveaux chemins dans ces cartes qui ont fâcheusement tendance à recouvrir nos territoires.

Le premier numéro de Klaxon parle de l'art vivant en relation avec la ville sociétale.

Le deuxième numéro de Klaxon examine cette zone particulière où l’art dans l’espace public jouxte l’activisme politique, voire s’efface au profit de celui-ci.